GRANDES VÊPRES
Au lucernaire, six stichères.
Ton I
Venez, multitudes orthodoxes, chantons nos Pères dans la foi, martyrs, hiérarques, hiéromartyrs, rois et prêtres, moines et moniales, saintes femmes et pieux fidèles, connus et inconnus qui ont fait fructifier le don de Dieu. Glorifiés par son amour et exemples lumineux pour nous pécheurs, ils intercèdent pour notre patrie.
Venus d’Orient, de l’Hellade et de Rome ou natifs de ce sol, vous avez baptisé de votre sang la terre de nos ancêtres, saints martyrs. Les cieux exultent et notre peuple vous acclame, au souvenir de votre sacrifice. Votre semence de lumière a germé dans l’ascèse et les vertus des saints moines, des vierges et des recluses, des pieux princes et des pénitents qui entonnent avec les anges des cantiques de louange.
De quelles hymnes honorerons-nous les saints évêques des Gaules ? Parures éclatantes de l’Épouse du Christ, couronnes sacrées et miroirs de la piété, source de guérisons divines et dispensateurs des biens spirituels, ils sont le gage de notre salut.
Ton II
Le vénérable Pothin allume à Lyon le flambeau de l’Église de Smyrne. Son éclat brûle du feu divin révélé au Thabor, puis a Cénacle et à Patmos à Jean le Théologien. Ainsi que Denys à Paris, Crescent, le compagnon de Paul, apporte à Vienne le message apostolique. À leur image, de myriades de pèlerins depuis le fond des âges, parcourent nos terres et peuplent nos sanctuaires. Ils se rendent au tombeau du saint apôtre Jacques le Majeur. Héraut du salut, affermissez notre foi !
Ton VIII
Réjouis-toi, chœur des hiérarques blanchis dans les luttes sacrées. Face aux gnostiques, Irénée montre la vérité, Hilaire contre Arius défend la Trinité, Martin joint la douceur à la persuasion, Germain d’Auxerre combat Pélage et rétablit la paix. Ambroise de Milan écrit à Phébade d’Agen, la gloire des conciles et l’ami de Delphin, qui réfute Priscillien et à Bordeaux baptise Paulin. En chacun d’eux, aux confins de l’Occident, resplendit la même foi qu’en Orient.
Athanase d’Alexandrie traverse nos contrées, admirant leur orthodoxie et y prêchant l’ascèse. Les saints de Lérins illuminent la Provence de vertus de Scété. Cassien le Romain enseigne la voie royale du salut et le bienheureux Salvien édifie Marseille. Just de Lyon, avant d’illustrer sa cathèdre, vit près du Nil comme Antoine au désert. Saints ermites et moines du Couchant, faites luire la lumière du Christ en nos coeurs enténébrés.
Gloire, Ton V
Réjouis-toi, nouvelle Sion, peuple baptisé gardé du Très-Haut, domaine sacré de l’Archange Michel. Réjouis-toi, terre splendide et multiple, reflet du céleste royaume, don de la munificence divine. Réjouis-toi, héritage du Christ, acquis par Irénée et Denys, Martin et Paulin le Miséricordieux, Hilaire et Rémi, qui t’ont enseigné l’orthodoxie de la foi et des moeurs. Réjouis-toi, refuge de Marie-Madeleine, patrie de Blandine et Geneviève, royaume de Clotilde et Radegonde. Que leur intercession ne manque jamais aux pieux orthodoxes qui les invoquent.
Et maintenant, dogmatique du ton occurrent
Entrée, suivie de trois lectures :
Isaïe, XLIII : 9·14
Sagesse de Salomon, ID : 1·9
Sagesse de Salomon, V : 15· VI : 3
Litie
Ton III
Louez, peuples, les hauts faits et la patience des témoins du Christ qui, dans les supplices, ont reçu la couronne d’immortalité. Avec Sébastien de Narbonne, les martyrs de Lyon et de Valence ouvrent l’étonnant cortège. Bénigne de Dijon, Fuscien d’Amiens, Valérien de Tournus et Marcel de Chalon brandissent la palme myscique. À l’image de Blandine, Colombe de Sens et Foi d’Agen accueillent dans les tourments l’Époux de leurs âmes. Les reliques sacrées de Vincent de Saragosse, la gloire des Espagnes, sont portées en triomphe. Anne de Russie devenue notre reine leur offre à Senlis un moutier pour écrin et apporte à Reims l’évangéliaire du sacre. Clair sanctifie sur l’Epte la terre des Normands Que l’intercession de tes martyrs, Seigneur, consume nos passions et pacifie nos âmes !
Ton VI
La moisson a levé en d’innombrables hiérarques. Irénée, Hilaire, Martin et Germain l’Auxerrois en sont les coryphées. Quelle cité n’a pas son ange céleste ? Gatien et Brice de Tours sont évangéliques, Maximin d’Aix et Victrice de Rouen illuminent leurs peuples, Trophime d’Arles, Front de Périgueux et Sabinien de Sens baptisent les païens. Privat et Baudile scellent de leur sang la confession de la foi. Vivien de Saintes, Orens d’Auch, Vallie du Couserans, Eutrope d’Orange et Marcellin d’Embrun sont des icônes du Bon Pasteur. Face au fléau de Dieu, Aignan imite à Orléans Geneviève de Paris. Aux pères de la patrie, revêtus de la force du Christ, vont nos louanges.
Gloire, et maintenant. Ton VIII
De nouveaux mélodes apparaissent parmi nous. De leurs hymnes, Paulin l’Aumônier, Prudence accouru d’Espagne et Fortunat épris de la Croix, célèbrent le triomphe des martyrs. Sous la voûte de nos cieux, les maîtres de Byzance et d’Arménie élèvent des coupoles sacrées. L’Église s’accroît comme un nouvel arbre de Jessé dont la Génitrice de Dieu est l’arche immaculée.
Apostiches du ton occurrent
Gloire. Ton IV
Fêtons avec ferveur la mémoire de nos Pères saints, dignes de nos éloges et accueillants à nos vœux. Qu’une liesse spirituelle anime nos lèvres et convertisse nos cœurs. Que le peuple très chrétien se souvienne des promesses de son baptême. Orant et Pénitent, réconcilié avec le Christ qui aime les Francs, qu’il emprunte aux béatitudes sa règle de vie et demeure cher à la Mère de Dieu qui souvent l’a visité.
Et maintenant. Ton V
Réjouis-toi, terre élue entre toutes par la Source de la Lumière qui y vient avec prédilection. Exulte, royaume de la Toute-Sainte, champ de Lys où lèvent les vierges consacrées, Blandine, Geneviève et Odile, jaillies de ta pureté et épouses du roi des cieux, ton Fils notre Dieu.
Tropaire (apolytikion). Ton VIII
Tel un présent de grand prix, la Terre des Francs t’offre,
Seigneur, tous les saints qui l’ont embellie. Icône du royaume à
venir, riche en intercesseurs, elle en appelle à Ta Mère Très Pure,
à saint Michel Archange et au levain des martyrs pour te
demeurer fidèle à jamais.
MATINES
(Après avoir chanté le “Seigneur Dieu” le tropaire dominical par deux fois, on dit “Gloire” puis on chante celui des saints de France qui a clos le service de vêpres. On le fait suivre de ”Et maintenant” et du théotokion du ton de l’octoèque dominical).
Polyéléos
Mégalynaire :
Nous vous magnifions, saints orthodoxes glorifiés en France, et nous honorons votre sainte mémoire, en vous suppliant d’intercéder pour nous auprès du Christ qui aime les Francs.
Hypakoï
Vous nous avez ouvert le paradis spirituel, saints de Dieu qui demeurez l’âme et le fondement de notre patrie. Vos labeurs, vos souffrances et vos miracles ont acquis au Christ un nouveau peuple théophore. Par les prières de nos saints aïeux, Seigneur, fais-nous participer aux joies de ton royaume.
Ode I
Réjouis-toi, Gaule, Galilée du couchant, jardin de la Mère du Sauveur, sceptre de son Fils, le Christ notre Dieu.
Merveille étonnante, le compagnon de Paul, l’Aréopagite inspiré, le chantre des hiérarchies célestes, accourt d’Athènes à la Lutèce des Parisiens. Pour le Christ roi, il se fait esclave et succombe martyr, avec Rustique le prêtre et le diacre Éleuthère.
C’est le sang du calice qui s’épanche du corps des martyrs théophores. L’évêque Pothin, plein de grâce et d’ans, le diacre Sanctus, la vierge Blandine, les courageux Maturus, Attale et Alexandre s’élancent de l’arène lyonnaise vers la cité des cieux.
Mère de Dieu, familière de nos terres, accueille la prière de notre peuple.
Ode III
L’enfant de l’Évangile vient en nos forêts renverser les idoles et proclamer le message de son Maître divin. Le front portant l’empreinte de la main du Sauveur, Martial arrache l’Aquitaine à la fureur de Mars.
Zachée s’élance vers les terres d’Occident. Dans nos solitudes, il vient annoncer la Bonne Nouvelle du salut. La Mère de Dieu est magnifiée au lieu où s’arrêtèrent ses pas.
Marie-Madeleine, la myrophore égale aux apôtres, Lazare, l’ami du Maître ressuscité des morts, Marie Jacobé, Marie Salomé, Marthe et Sarah embaument la Provence de leur séjour et laissent à l’église du martyr Victor leurs reliques sacrées.
La Toute-Pure est la plus sûre de nos gardiennes, le refuge des pécheurs et la protection invincible de la patrie.
Kondakion, ton III
Autour de la Mère de Dieu et de Michel Archange se
rassemblent en ce jour tous les saints de notre terre, prompts à
intercéder et implorant le Très-Haut de nous sauver.
lkos
Les chœurs célestes se réjouissent. Depuis vingt siècles, nos contrées en augmentent le nombre. Aux martyrs se sont joints les hiérarques et les moines, les princes et les vierges, qui entonnent en l’honneur du Christ éternel le même péan de gloire. La terre des Francs exulte, riche du sacrifice, de l’amour et de la force de ses saints, icônes très ressemblantes de l’Ancien des jours. Que leur grâce s’épanche en nos âmes.
Ode IV
Chantons l’astre brillant de l’Orthodoxie, la lyre de la théologie, le chantre de la Trinité, Hilaire, le nouvel Athanase, dont l’intercession accorda la victoire à Clovis et nous affermit dans la vraie foi.
De la lointaine Pannonie s’achemine auprès d’Hilaire Martin, égal aux apôtres. Miséricordieux aumônier, il devient à Amiens, où brilleront les saints évêques Flore et Honoré, le bienfaiteur du Christ.
Réjouissez-vous, Touraine et pays de Loire aux larges horizons, Martin pontife et moine veille de son tombeau retrouvé sur vos baptisés.
Avant les saines Benoît et Serge, Martin voit la lumière incréée auréoler les saints mystères. Puissant thaumaturge, il détruit les idoles, repousse les invasions et triomphe d’Arius et de Priscillien.
C’est toi, Mère de Dieu, qui inspires tes serviteurs dans la
lutte implacable contre l’hérésie. Guide invincible, sois louée à
jamais !
Ode V
Quels cantiques entonner à la mémoire immortelle de Geneviève, la vierge consacrée donc les prières sauvèrent la cité ?
Dès que la nuit descend sur la patrie, commence la veille ardente de Geneviève, bénie par Germain l’Auxerrois et entrevue par Syméon le Stylite.
Avec Maurice et la légion thébaine, les cohortes des martyrs accourent au même appel. Saluons d’hymnes inspirées Donatien et Rogatien de Nantes, Crépin et Crépinien de Soissons, Ferjeux et Ferréol de Besançon, Symphorien, Yrieix et Julien, athlètes de la foi et émules de leurs devanciers romains.
Combien de fois, Mère de Dieu, es-tu venue réconforter au seuil de l’éternité tes enfants marqués du signe de la Croix ? Prie pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort.
Ode VI
Bienheureux disciples de Denys, hiérarques sanctifiés, Saintin à Verdun, Rieul à Arles et Senlis, Taurin à Evreux, Nicaise à Rouen, Eutrope en Saintonge, Antoine et Jonas à Chartres, intercédez avec le hiéromartyr Lucien de Beauvais et Quentin son compagnon, pour le peuple qui vous est toujours confié.
Thébaïde provençale, Attique d’Occident, gardienne de la voie du salut enseignée par les saints Pères, exulte en ce jour ! Cassien le Romain, Vincent de Lérins, Hilaire et Honorat d’Arles, Maxime et Fauste de Riez, précèdent les choeurs de tes ascètes et nous convient à les suivre.
Hommes de silence er de paix, vases de charité et flambeaux de prière demeurent Maur, disciple de Benoît du Mont-Cassin, Calmine de Tulle, Colomban, Valery et Wandrille, Odon de Cluny et Bernard de Menthon, Théobald et Israël. Que leurs mortifications et leurs labeurs nous soient un recours permanent.
Très pure souveraine, tu t’es plue à te désigner toi-même reine des moines et des âmes consacrées. Règne encore parmi nous.
Kondakion et ikos de l’Octoèque dominical
Ode VII
C’est la clémence de ton ciel que l’on retrouve dans la douceur de tes saints, paisible Aquitaine. Paulin le Misécordieux t’a illustrée du renom de ses écrits dédiés au Christ, à son Précurseur et au bienheureux Félix. Avec sainte Thérèse, son épouse bénie, et Nicétas de Remesiana, l’apôtre des Roumains son ami, qu’il console nos âmes !
Delphin et Amand de Bordeaux, Saturnin et Exupère de Toulouse, Clair d’Albi, et Rodolphe de Bourges, le père de la patrie, enseignent à leur peuple la foi des apôtres.
D’une hymne splendide, Venance Fortunat acclame la Vraie Croix dont l’empereur orthodoxe de la Seconde Rome offre à sainte Radegonde une relique précieuse.
Comment la Mère de Dieu resterait-elle indifférente à une terre où l’on vénère la Croix de son Fils bien-aimé ? Brandissons le bois sacré, nous obtiendrons son intercession.
Ode VIII
Terre des Francs, acquise par la foi orthodoxe de Clotilde et de Rémi à Clovis l’ardent puis à Louis le Pieux, exulte en tes saints partout présents.
En des siècles cruels germent des lys de douceur et de pureté, tels Clodoald, de la race du fier Sicambre catéchisé par Waast, Gontran, le roi pacificateur, Radegonde, aimée des évêques Médard de Noyon et Germain de Paris, Bathilde, la pieuse reine protégée par Eloi, ministre, hiérarque et thaumaturge.
Irénée avait triomphé des hérésies dans une langue mélodieuse. Eucher de Lyon et Grégoire de Tours poursuivent son œuvre en nous contant la geste des saints.
L’austère Auvergne est devenue la cité de Dieu avec ses évêques Austremoine, Allyre, Sidoine Apollinaire et Hubert, ou ses ascètes généreux tels que Géraud et Bonet.
Que d’âmes diaphanes reflètent ton intercession, Mère toute-sainte et vigilante ! Viens-nous en aide.
Ode IX
Vers l’Orient se lèvent Odile en Alsace, Aimé dans les Vosges, Lupicin et Romain au cœur du Jura, Gérard de Toul, Clément de Metz, Claude de Besançon, Didier de Langres et Loup de Troyes. Leurs prières tissent une protection à la patrie.
À peine nos regards se tournent-ils vers le couchant qu’apparaissent saint Michel au péril de la mer, Philibert à Noirmoutier et le chœur épiscopal que forment Malo, Nicaise, Paterne, Brieuc, Julien, Bertrand, René, Maurille et Lô.
À vous aussi, martyrs de Sébaste et saints d’Orient dont les restes sacrés sont parmi nous, s’adressent nos prières : Nicolas de Myre en Lorraine, et Antoine le Grand en Dauphiné, Côme et Damien à Luzarches, Pantaléon de Nicomédie et Germain de Constantinople, en Limousin, Hilarion, Piammon et Agathon en Quercy, cimes de l’ascèse et puissants thaumaturges.
Dans la cité reine qu’avaient illustrée les Égaux-aux-Apôtres Hélène et Constantin, leur successeur Manuel Paléologue témoigna de la foi orthodoxe avant de devenir le moine Matthieu. Le tsar Alexandre, dont la grâce de Dieu fit le Juste Théodore, y rendit justice au Très~Chrétien supplicié. Réjouis-toi, glorieux Paris, symbole de résurrection ! Alexandre le Second t’embellit d’un temple magnifique où célébra Wladimir le Théologue, vainqueur de l’hérésie, et où pria notre fidèle allié, le grand martyr Nicolas, victime des impies. Que leur prière nous affermisse dans l’Orthodoxie !
Quels flambeaux célestes admirerons-nous encore ? Des myriades nous en demeurent cachées. C’est à toi, Mère souveraine et Vierge, reine de tous les saints, revêtus de la tunique sans couture de ton Fils, vénérée à Argenteuil, que nous offrons la couronne de ce chant.
Exapostilaire
La douce France a été la bonne terre de la parabole, mais nos péchés l’ont rendue inculte et stérile. Par les prières de nos Pères saints, Christ ami de l’homme, fais fructifier ton bien.
Laudes. ton IV
Pourpre des flammes du Saint-Esprit et du sang des martyrs, qui a teint la bannière de saint Denys, notre patrie céleste appelle notre conversion et attend nos labeurs. Venez, multitudes orthodoxes, œuvrer dans la vigne du Seigneur.
Colonne et affermissement de notre peuple sont nos Pères dans la foi, triomphants des démons, des erreurs et des passions. Avec tous les saints, implorons-les pour notre salut.
En maint lieu de notre pays, la Mère de Dieu a élu un havre de grâce et d’espérance. Dans les flots de sa miséricorde, puisons les guérisons que dispense le Seigneur aux âmes et aux corps.
Avec l’Archange qui brandir le glaive du Très-Haut et saint Martin l’Aumônier, ange dans la chair et homme céleste, chantons la divine Trinité dont la grâce a suscité martyrs et vierges, pasteurs et ascètes, héros et princes fidèles au Christ qui aime les Francs.
LAUS TIBI, BEATA TRINITAS !
Toutes les icônes présentées sont vénérées dans la chapelle du baptistère annexe de la Basilique Saint Gény
De gauche à droite (en haut) : Saint Antoine, Saint Prime, Saint Félicien et Saint Maurin
De gauche à droite (en bas) : Saint Phébade, Saint Vincent, Saint Caprais, Sainte Foy et Saint Dulcide
De gauche à droite : Sainte Sigolène, Saint Eugène, Saint Alain, Saint Clair, Sainte Carissime, Saint Amaranthe, Saint Salvy et Sainte Marcienne
De gauche à droite (en haut) : Saint Aptone, Saint Trojean, Saint Léonce, Sainte Gemme, Saint Vaize, Saint Dizans, Sainte Estelle, Saint Ambroise, Saint Amand, Saint Léger, Saint Maclou, Saint Martin et Saint Liène
De gauche à droite (en bas) : Saint Cybard, Saint Supère, Saint Ausone, Saint Césaire, Saint Martial, Saint Fortunat, Saint Eutrope, Saint Hilaire, Saint Sauve, Saint Vivien, Saint Pallais et Saint Sidoine
De gauche à droite (en haut) : Saint Amand, Saint Léonce II, Saint Seurin, Saint Émilion, Saint Delphin et Saint Romain
De gauche à droite (en bas) : Saint Abbon, Saint Macaire, Saint Martial, Saint Fort, Saint Paulin et Saint Mommolin
De gauche à droite : Saint Julien, Saint Galactoire, Saint Léon, Saint Grat
De gauche à droite (en haut) : Saint Girin, Sainte Livrade et Saint Misselin
De gauche à droite (en bas) : Saint Faust, Saint Justin et Saint Savin
De gauche à droite (en haut) : Saint Gény, Saint Giron, Saint Aspace, Saint Aventin, Saint Vincent, Sainte Dode, Saint Montin et Saint Sever
De gauche à droite (en bas) : Saint Fritz, Sainte Quitterie, Saint Léothade, Saint Cérase, Saint Taurin, Saint Lupercule, Saint Orens et Sainte Fauste
De gauche à droite : Sainte Énimie, Saint Firmin, Saint Privat et Saint Frézal
De gauche à droite (en haut) : Saint Gilles, Saint Firmin, Saint Flour, Saint Etienne, Saint Georges, Saint Tipère, Sainte Florence et Saint Modeste
De gauche à droite (en bas) : Saint Benoît, Sainte Eulalie, Saint Fulcran, Saint Venuste, Saint Pons, Saint Guilhèm, Saint Maixent et Saint Aphrodise
De gauche à droite (en haut) : Saint Sylve, Saint Théodard, Saint Érembert, Saint Germier, Saint Hilaire, Saint Lézer, Saint Honorat et Saint Gimer
De gauche à droite (au milieu) : Saint Exupère, Saint Sébastien, Saint Martory, Saint Paterne, Sainte Camelle, Saint Gauderic, Saint Rustique, Saint Alpinien et Saint Antonin
De gauche à droite (en bas) : Les Saintes Puelles, Saint Paul-Serge, Saint Papoul, Saint Saturnin, Saint Gaudens, Saint Honeste, Saint Vidian, Saint Valère et Saint Valier
De gauche à droite (en haut) : Saint Cyprien, Saint Sèverin, Saint Léonard, Saint Sacerdos, Sainte Alvère, Saint Frontaise et Sainte Mondane
De gauche à droite (en bas) : Saint Silain, Saint Juste, Saint Georges, Saint Front, Saint Sévérien et Saint Sour
De gauche à droite (en haut) : Saint Florent, Saint Maurillon
De gauche à droite (au milieu) : Saint Alitre, Sainte Spérie, Saint Genoulph, Saint Amadour et Saint Ambroise
De gauche à droite (en bas) : Saint Rustique, Saint Nomphase, Saint Didier, Saint Gaubert, Saint Urcice et Saint Capuan
Colonne gauche (de haut en bas) : Sainte Triaise, Saint Grat et Saint Ansute
Au milieu en haut de gauche à droite : Saint Florez, Sainte Alvère, Saint Ilarien et Sainte Tarsice
Au milieu en bas de gauche à droite : Saint Affrique, Saint Amans et Saint Naamace
Colonne droite (de haut en bas) : Sainte Procule, Saint Quintien et Saint Dalmace
De gauche à droite: Saint Maximin, Sainte Marcelle, Sainte Marie Jacobé, Sainte Marthe, Saint Lazare, Sainte Marie Madeleine, Saint Sidoine, Sainte Marie Salomé et Sainte Sarah
En haut de gauche à droite : Marguerite de Lorraine, Isabelle de France, Louis IX, Jeanne d’Arc, Louis XVI, Élisabeth de France, Jeanne de Valois
En bas de gauche à droite : Saint Dagobert II, Sainte Radegonde, Saint Sigebert, Sainte Aurélie, Saint Rémy de Reims, Sainte Clotilde, Saint Gontran, Saint Carloman
En haut de gauche à droite : Saint Vère III, Saint Caldéole, Saint Blidramme, Saint Évance, Saint Ours, Saint Paschase, Saint Ayralde, Saint Isice, Saint Landalène, Saint Bobolin Ier, Saint Pantagathe.
En bas de gauche à droite : Saint Clarent, Saint Julien, Saint Défendant, Saint Maxime, Saint Avit, Saint Antoine, Saint Florent Ier, Saint Clair, Saint Paracode, Saint Barnard, Saint Simplice, Saint Simplide.
En haut de gauche à droite : Saint Eoalde, Saint Claude, Saint Austrebert, Saint Wilicaire, Saint Ethère, Saint Bobolin Ier, Saint Domnole, Saint Denis, Saint Wolfère, Saint Thibaud Ier, Saint Bobolin II, Saint Philippe.
En bas de gauche à droite : Saint Just, Saint Martin, Saint Nizier, Sainte Clothilde, Saint Didier, Saint Zacharie, Saint Crescent, Sainte Blandine, Saint Sanctus, Saint Mamère, Saint Just Ier, Saint Sigismond, Saint Florent II.
En haut de gauche à droite : Saint Burchard, Saint Agrat, Saint Déodat, Saint Édicte, Saint Vère II, Saint Georges, Saint Domnin, Saint Isice, Saint Naamat, Saint Aignan, Saint Dulphe.
En bas de gauche à droite : Saint Sévère, Saint Nectaire, Saint Vère Ier, Saint Theudère, Saint Ferréol, Saint Julien, Saint Léonien, Saint Adon, Saint Lupicin, Saint Séverin, Saint Exupère, Saint Félicien.
En haut de gauche à droite : Sainte Julienne de Pavilly, Sainte Bertoaire de Bourges, Sainte Rusticula d’Arles, Sainte Mafflée de Remiremont, Sainte Gertrude de Remiremont, Sainte Théodechilde de Jouarre.
Au milieu de gauche à droite : Sainte Hildemarque de Fecamp, Sainte Vitalina de Rion, Sainte Monegonde de Tours, Sainte Aurée de Paris, Sainte Opportune de Monteuil, Sainte Césarie d’Arles.
En bas de gauche à droite : Sainte Sigolène de Trollar, Sainte Fare de Brie, Sainte Odile d’Alsace, Sainte Radegonde de Poitiers, Sainte Geneviève de Paris.
En haut de gauche à droite : Saint Gildas de Rhuys, Saint Yrieix du Limousin, Saint Wandrille de Caux, Saint Philibert de Jumièges, Saint Gilles de Camargue, Saint Fiacre de Breuil.
Au milieu de gauche à droite : Saint Colomban de Luxeuil, Saint Guilhèm du Languedoc, Saint Guénolé de Bretagne, Saint Aigulphe de Provence, Saint Odon de Cluny, Saint Léonard de Noblat.
En bas de gauche à droite : Saint Léonien de Vienne, Saint Jean de Réomé, Saint Clair de Vienne, Saint Benoît d’Aniane, Saint Jean Cassien.